L’élection présidentielle gabonaise de 2016 - Contribution à une problématique de la construction démocratique en Afrique francophone
Editeur(s) L'HARMATTAN
Collection(s) Études africaines
Ean :
9782336538778
Date de parution :
28/08/2025
Résumé : Au lendemain de la Conférence nationale de mars et avril 1990 au Gabon, l’on a assisté au retour de « la pratique démocratique » avec l’organisation des élections fondatrices. Cela a permis au pays d’amorcer à nouveau son processus de démocratisation.
Malheureusement, l’élection présidentielle test du 5 décembre 1993 ressembla à une parodie électorale dont le principal « bénéficiaire » fut Omar Bongo.
L’élection présidentielle d’août 2016 et la crise postélectorale née de celle-ci ont été à nouveau des marqueurs d’une absence de consolidation démocratique. Par manque de consolidation démocratique, dans la nuit du 30 août 2023, le Parti démocratique gabonais (PDG) au pouvoir depuis 1968 a vu son long règne prendre fin de façon brutale à travers un coup d’État organisé par des militaires regroupés au sein du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI) conduit par le Général Brice-Clotaire Oligui, Commandant de la Garde Républicaine (GR) lors de la proclamation des résultats frauduleux par le Centre gabonais des Élections (CGE) donnant Ali Bongo Ondimba « vainqueur » pour un troisième mandat à l’élection présidentielle du 26 août 2023. Pour cerner la qualité de l’édifice démocratique gabonais au sein de l’espace francophone, cette étude ambitionne de donner des éléments d’appréciation à tout observateur de la vie politique du pays.
Malheureusement, l’élection présidentielle test du 5 décembre 1993 ressembla à une parodie électorale dont le principal « bénéficiaire » fut Omar Bongo.
L’élection présidentielle d’août 2016 et la crise postélectorale née de celle-ci ont été à nouveau des marqueurs d’une absence de consolidation démocratique. Par manque de consolidation démocratique, dans la nuit du 30 août 2023, le Parti démocratique gabonais (PDG) au pouvoir depuis 1968 a vu son long règne prendre fin de façon brutale à travers un coup d’État organisé par des militaires regroupés au sein du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI) conduit par le Général Brice-Clotaire Oligui, Commandant de la Garde Républicaine (GR) lors de la proclamation des résultats frauduleux par le Centre gabonais des Élections (CGE) donnant Ali Bongo Ondimba « vainqueur » pour un troisième mandat à l’élection présidentielle du 26 août 2023. Pour cerner la qualité de l’édifice démocratique gabonais au sein de l’espace francophone, cette étude ambitionne de donner des éléments d’appréciation à tout observateur de la vie politique du pays.
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