
(environ
224
pages)
Quand la France se détourne de la science
Auteur(s) Karine Berger (A01), Grégoire BIASINI (A01)
Editeur(s) JACOB
Rayon(s) Sociologie des sciences, Sociologie, Sciences sociales, SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES
Ean :
9782415012748
Date de parution :
10/09/2025
Résumé : Comment est-il possible qu’au pays des Lumières, au pays de Pasteur et de Marie Curie, la science soit à ce point remise en cause, marginalisée… voire rejetée ?
N’est-ce pas en France que le mouvement « antivax » s’est manifesté avant le covid ? N’est-ce pas également dans notre pays que le rejet des OGM a été si massif qu’on ne peut plus rouvrir le débat sur des techniques de génétique moins intrusives ?
Ce phénomène entraîne un désintérêt collectif pour la recherche, l’invention du futur et le progrès. Il fragilise le fonctionnement démocratique, car le socle de nos opinions est, de moins en moins, la vérité construite par la science et, de plus en plus, la ligne politique à laquelle on s’identifie.
Karine Berger et Grégoire Biasini analysent les facteurs à l’origine de cette situation, notamment l’accumulation des crises – vache folle, Tchernobyl… – qui ont ébranlé la société française. Ils pointent la responsabilité des élites politiques et médiatiques, le rôle des réseaux sociaux, et soulignent qu’un point de non-retour risque d’être franchi. Ils proposent des pistes pour retrouver le chemin de la confiance sans laquelle aucune communauté humaine ne peut durablement vivre ensemble.
Karine Berger est dirigeante dans le secteur public. Elle a été députée des Hautes-Alpes (de 2012 à 2017). Depuis 2024, elle est présidente du conseil d’administration de l’Institut Henri-Poincaré et membre du comité « Expertise scientifique, décision politique et fonctionnement démocratique » pour l’Académie des sciences et l’Académie de sciences morales et politiques.
Grégoire Biasini, fondateur du cabinet de conseil Palomar, conseille les organisations sur les sujets d’acceptabilité (de projets ou d’innovation), notamment à dimensions sanitaire et environnementale. Il donne régulièrement des cours à Sciences Po, à HEC, à l’X ou aux Arts et Métiers et prépare les dirigeants à la gestion de crise.
N’est-ce pas en France que le mouvement « antivax » s’est manifesté avant le covid ? N’est-ce pas également dans notre pays que le rejet des OGM a été si massif qu’on ne peut plus rouvrir le débat sur des techniques de génétique moins intrusives ?
Ce phénomène entraîne un désintérêt collectif pour la recherche, l’invention du futur et le progrès. Il fragilise le fonctionnement démocratique, car le socle de nos opinions est, de moins en moins, la vérité construite par la science et, de plus en plus, la ligne politique à laquelle on s’identifie.
Karine Berger et Grégoire Biasini analysent les facteurs à l’origine de cette situation, notamment l’accumulation des crises – vache folle, Tchernobyl… – qui ont ébranlé la société française. Ils pointent la responsabilité des élites politiques et médiatiques, le rôle des réseaux sociaux, et soulignent qu’un point de non-retour risque d’être franchi. Ils proposent des pistes pour retrouver le chemin de la confiance sans laquelle aucune communauté humaine ne peut durablement vivre ensemble.
Karine Berger est dirigeante dans le secteur public. Elle a été députée des Hautes-Alpes (de 2012 à 2017). Depuis 2024, elle est présidente du conseil d’administration de l’Institut Henri-Poincaré et membre du comité « Expertise scientifique, décision politique et fonctionnement démocratique » pour l’Académie des sciences et l’Académie de sciences morales et politiques.
Grégoire Biasini, fondateur du cabinet de conseil Palomar, conseille les organisations sur les sujets d’acceptabilité (de projets ou d’innovation), notamment à dimensions sanitaire et environnementale. Il donne régulièrement des cours à Sciences Po, à HEC, à l’X ou aux Arts et Métiers et prépare les dirigeants à la gestion de crise.
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