
Le parti pris du travail
Après
Ma France, heureuse, solidaire et digne
et
Les jours heureux sont devant nous
, Fabien Roussel poursuit son dialogue avec les Français.
Dans un contexte international extrêmement tendu, la France a besoin de s'unir autour d'une ambition collective pour relever les défis de la réindustrialisation, de l'énergie, du climat, de l'intelligence artificielle, des services publics et de la formation. Tout cela appelle à une grande planification de l'économie, à rebours des vieux discours sur la dette et la réduction de la dépense publique. Le secrétaire national du PCF propose ici deux mesures fortes : la création d'une nouvelle sécurité sociale pour l'emploi et la formation, et un choc d'investissement public pour redresser le pays.
Au cœur de cette révolution, le monde du travail, aujourd'hui fracturé, divisé par ceux qui dirigent l'économie, occupe une place centrale. Prendre le parti du travail, c'est faire le choix de l'emploi et non celui du RSA, c'est donner plus de pouvoirs à celles et ceux qui créent les ressources du pays ; c'est redonner du sens au travail et permettre à chacun de s'épanouir, de se former et d'évoluer tout au long de sa carrière.
" La plus belle richesse de la République, ce sont les travailleurs. C'est avec eux que nous reconstruirons la France et défendrons la paix. "