Tirage - Feux d’artifice japonais
Auteur(s) Jinta HIRAYAMA (A01)
Editeur(s) RELIEFS
Collection(s) HORIZON
Rayon(s) ARTS ET BEAUX LIVRES
Ean :
9782380362510
Date de parution :
07/11/2025
Résumé : Découvrez une œuvre illustrée chère à Reliefs.
Retrouvez à l’intérieur :
– Une illustration imprimée avec soin sur papier d’art
– Un livret de quatre pages autour de l’œuvre
Cette mosaïque de planches d’un illustrateur anonyme présente quelques-uns des 200 obus pyrotechniques de tous styles, formats et puissances qu’offre ce catalogue de feux d’artifice de la société Hirayama, qui produisait également des feux d’artifice de jour. Les feux d’artifice, apparus au Japon aux alentours de 1600, y ont connu de nombreuses innovations, comme les warimono (« étoiles rayonnantes »), les pokamono (« bombes explosives ») ou les hanwarimoni (« semi-explosifs »). Au XIXe siècle, pendant la période d’Edo, des compétitions avaient lieu entre hanabishi (« artificiers ») de chaque côté du pont de Ryōgoku, sous les acclamations des spectateurs qui criaient (et crient aujourd’hui encore) Kayiga ! ou Tamaya !, noms des deux principaux rivaux. Compétitions qui ont dû cesser en 1843, quand une explosion dans les ateliers Tamaya a entraîné l’expulsion de cette industrie d’Edo, futur Tōkyō.
Retrouvez à l’intérieur :
– Une illustration imprimée avec soin sur papier d’art
– Un livret de quatre pages autour de l’œuvre
Cette mosaïque de planches d’un illustrateur anonyme présente quelques-uns des 200 obus pyrotechniques de tous styles, formats et puissances qu’offre ce catalogue de feux d’artifice de la société Hirayama, qui produisait également des feux d’artifice de jour. Les feux d’artifice, apparus au Japon aux alentours de 1600, y ont connu de nombreuses innovations, comme les warimono (« étoiles rayonnantes »), les pokamono (« bombes explosives ») ou les hanwarimoni (« semi-explosifs »). Au XIXe siècle, pendant la période d’Edo, des compétitions avaient lieu entre hanabishi (« artificiers ») de chaque côté du pont de Ryōgoku, sous les acclamations des spectateurs qui criaient (et crient aujourd’hui encore) Kayiga ! ou Tamaya !, noms des deux principaux rivaux. Compétitions qui ont dû cesser en 1843, quand une explosion dans les ateliers Tamaya a entraîné l’expulsion de cette industrie d’Edo, futur Tōkyō.
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